Le week-end dernier, 5 athlètes du « Team » LDP Coaching étaient mobilisés sur le front des compétitions.
Du côté de l’Australie, Sylvain LAUR termine à la 65ème place au classement général en 4:45:58 (30:19 en N, 2:42:21 en C, 1:33:16 en CAP & à +18.23% du temps du vainqueur & 8ème GA 4044) lors du Scody HIM de Port Macquarie sur un parcours exigeant combiné à des conditions climatiques difficiles. Un premier test grandeur nature réussi et qui confirme sa progression, et en particulier au niveau de l’enchaînement cyclisme/course à pied.
Quelques heures plus tard, du côté de la Côte d’Azur, le départ du marathon Nice-Cannes était donné. Cette compétition était particulièrement piégeuse avec un premier semi-marathon « roulant » et un second beaucoup plus technique et accidenté. Résultat, de nombreux athlètes ont dû revoir leurs ambitions chronométriques au fil des kilomètres. Les 4 athlètes du « Team » LDP Coaching n’ont pas dérogé à la règle. Par ordre alphabétique, voici les performances réalisées :
Stéphane GROUX a parcouru les 42,195 km en 3:11:35 (Objectif initial => 2:59:00). Il a connu de vives douleurs au pied droit à partir du 32ème km. Celles-ci ont généré une altération de sa technique de course et qui aura eu raison de ses ambitions chronométriques.
Paul LANAT a parcouru les 42,195 km en 3:39:39 (Objectif initial => 2:59:00). Une contre-performance qui s’explique en partie par un planning professionnel surchargé en fin de préparation.
Jean-Charles MARCH a parcouru les 42,195 km en 3:59:22 (Objectif initial => 3:50:00). Il boucle à cette occasion son premier marathon avec beaucoup de satisfactions et une réelle envie de poursuivre l’aventure du côté de Paris et de New-York en 2009. Nous allons ainsi continuer à progresser dans le processus d’adaptation physiologique, mécanique et psychologique sur les prochaines semaines.
Fabrice TERLAUD a parcouru les 42,195 km en 3:54:17 (Objectif initial => 3:15:00). Une contre-performance qui s’explique en partie, tout comme pour Paul, par un planning professionnel surchargé les jours qui ont précédé l’épreuve et une mauvaise gestion d’allure sur les 20 premiers kilomètres. Il est important de tirer des enseignements de cette expérience afin d’appréhender au mieux les prochaines échéances à objectif majeur.